La première phase est
la colonisation de l’Algérie. C’était une opération fondamentale pour le
gouvernement de Charles X, qui voulait établir une politique réactionnaire et
un gouvernement plus dur avec les révolutions dans les colonies. Charles X a
préparé une expédition très forte pour mener la guerre avec plus de 40 000
hommes et de nombreux moyens navals. Malgré cela, les Algériens se sont bien
défendus avec des batteries, mais leur point faible était dans les quelques
troupes maritimes qui ont laissé ses côtes très exposées. Les françaises ont
débarque à Sidi-Ferruch, à 20 kilomètres à l’ouest.
Le débarquement a eu
lieu en été, de grandes tempêtes étaient à craindre, mais le beau temps a
accueilli les français en Algérie. À cette époque, l’armée française a pris et
défilé à travers les terres d’Alger, une ville qui a fini par se rendre le 5
juillet. L’opinion publique française était satisfaite de l’opération parce
qu’Alger avait un bilan négatif et était associée à un nid de pirates
mauvaises. Charles X a succède à Louis-Philippe qui poursuit les sévères
mesures répressives. Le gouvernement a envoyé les autorités françaises pour
expulser les représentants turcs qui gouvernaient l’Algérie. Cependant, le
nouveau gouvernement n’a fait que peu d’efforts pour poursuivre la conquête.
Abd el-Kader, à seulement 24 ans, est devenu le chef de la résistance
algérienne et les français sont passés à une occupation restreinte.
Dans les années 20,
le mécontentement a augmenté parmi la population algérienne. L’ordre colonial
français était de plus en plus discuté et la Première Guerre mondiale avait
lassé une grande crise économique, provoquant une famine importante. Cependant,
le principal motif de plainte des Algériens était leur différence de statut et
la discrimination concernant les Français. Les Jeunes Algériens étaient un
mouvement indépendantiste qui appelait à la fin du régime imposé par la France.
La dernière et plus décisive étape a été la guerre d’indépendance de l’Algérie (1954-1962). Les indépendantistes algériens lancent une série d’attaques organisés, par exemple en des brûlant des récoltes et en posant des bombes sur la gendarmerie française. Il a y eu sept morts. La répression des troupes françaises a été énorme et a repoussé les Algériens. Le 10 aout 1956, un groupe de Pieds-Noirs a posé une bombe sur le Casbahs d’Alger, faisant 70 morts de tous âges. La réponse a été immédiate, le 30 septembre, deux bombes furent placées par deux femmes Algériennes à Alger, l’une dans un bar et l’autre dans un café.
Pour mettre fin aux
attaques en Algérie, le gouvernement français a confié au général Jacques Massu
tous les pouvoirs sur la ville d’Alger. Les arrestations se sont multipliées,
de nombreuses exécutions et tortures ont été perpétrées contre les rebelles
algériens. Malgré cela, les français ne gagneraient pas la guerre d’Algérie. Le
12 décembre 1958, le général Maurice Challe succède à Raoul Salan à la tête des
forces établies en Algérie. Son objectif principal était d’anéantir le pouvoir
d’action des indépendantistes d’Alger. Le gouvernement français a proposé de
négocier avec les indépendantistes modérés. Fatigués de ne pas trouver trop
d’interlocuteurs modèrent, les Français ont décidé d’accorder
l’autodétermination aux Algériens.
Le 8 janvier 1961 a
lieu le référendum pour l’indépendance de l’Algérie. 75% soutiennent la
politique de dialogue de De Gaulle. Les françaises organisent une manifestation
qui se transforme en drame à Paris le 17 octobre. Le cessez-le-feu, devenu officiel
le 19 mars 1962, est finalement intervenu une semaine plus tard lors d’une
manifestation désespérée et sanglante des Algériens. Le jour de l’indépendance,
le 5 juillet, la population européenne d’Oran a été brutalement massacrée. Les
musulmans loyalistes ont été victimes d’une répression sévère par la police
française.
No hay comentarios:
Publicar un comentario